Tout en adoptant certaines des thèses keynésiennes, il s'attache à la défense des théories néoclassiques. Son analyse des faits économiques recourt largement à la formalisation mathématique. Outre les Fondements de l'analyse économique (1947), on lui doit également des ouvrages de vulgarisation, l'Économique (1948) et Readings in Economics (1952). [Prix Nobel 1970.]