Chef de l'école dite « de Chicago », il est promoteur d'un libéralisme renouvelé : Capitalism and Freedom (Capitalisme et liberté) [1962]. Pour ce monétariste néolibéral, l'État doit exercer un contrôle efficace sur la monnaie en circulation, celle-ci devant faire l'objet d'une expansion modérée et régulière pour appuyer la croissance économique. Friedman est l'héritier de Walras, dont il reprend le schéma de l'équilibre général. (Prix Nobel de sciences économiques 1976.)