Son système affirme que la connaissance repose sur la sensation. Dans sa lutte contre l'incroyance et le matérialisme, il a produit une théorie selon laquelle le monde n'existerait qu'en pensée et il n'existerait que des esprits (immatérialisme). Ce qu'il résume dans l'adage : « L'être des corps réside dans le fait qu'on les perçoit ou qu'ils sont perçus. » Dieu est la cause ultime des modifications que nous percevons, et la nature est le langage qu'Il nous parle. Son ouvrage principal est Dialogues entre Hylas et Philonous (1713).