Auteur de contes, de critiques littéraires, de pièces de théâtre, il évolua du naturalisme (les Flamandes, 1883) au mysticisme et connut une crise spirituelle (les Flambeaux noirs, 1891). Puis il célébra la poésie de la foule et des cités industrielles (les Villes tentaculaires, 1895 ; les Rythmes souverains, 1910) aussi bien que les paysages de son pays natal (Toute la Flandre, 1904-1911).